aujourd'hui l'arc en ciel


mais hier, ce fut un hélicoptère qui rasa le faîte du toit, déboulant toutes vibrations devant le triangle vitré de l’atelier.

Avant ce projet (monstrueux) d’y implanter des lignes électriques à très haute tension le pays respirait avec la durée calme et sereine d’une méditation.

Maintenant, les battements des pales de ces engins de mauvais augure viennent régulièrement hacher le ciel, mettre notre espace vital en charpie.

On les entend avec l’estomac, pelleteuses aériennes, qui braquent sur nos vies un œil énorme, fureteur et indiscret.

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